Depuis le début du XXème siècle et la multiplication des échanges internationaux à travers le globe, les contrats ayant pour parties des contractants provenants de pays différents et n’ayant de ce fait la meme culture se sont multipliés,
Si l’anglais demeure la langue privilégiée dans la redaction de contrats internationaux, il convient de s’interroger sur les risques, qu’ils soient de nature légale ou non, que présente un tel monopole de la “langue de Shakespeare”.
Le cabinet Spiegeler vous propose également une analyse des obligations et usages par rapport au choix de la langue en France et aux Pays-Bas.